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La frustration : un moteur ou un frein ?

  • chezmadi
  • 3 févr.
  • 1 min de lecture

Personne n'aime entendre ce mot "frustration". Pourtant, apprendre à être frustré dès notre plus jeune âge est essentiel. Les parents, en frustrant leurs enfants de manière constructive, leur enseignent que tout ne leur est pas dû. Ils apprennent ainsi que la vie demande des efforts, de la patience et de l’adaptation.


Mais que se passe-t-il lorsque la frustration devient omniprésente à l’âge adulte, notamment dans le milieu professionnel ? Lorsque le travail n’a plus de sens, qu’il ne nourrit ni l’esprit, ni l’âme ? Elle s’installe insidieusement et finit par peser lourdement sur notre bien-être.

Nous avons tous rencontré des collègues frustrés, parfois résignés, coincés dans une routine qu’ils subissent. D'ailleurs, cela m’a toujours interpellée. Pourquoi endurer une situation qui rend si malheureux ? Pourquoi ne pas prendre le risque du changement pour se donner une chance de vivre mieux, autrement ? Je sais, certains diront : « Plus facile à dire qu’à faire. » Et pourtant....je pense que rester dans une routine frustrante par peur de l’inconnu, par confort ou par habitude, n’est pas une solution viable sur le long terme.


La frustration devrait être perçue comme une sonnette d’alarme et un appel à l’introspection. Elle nous invite à nous interroger sur ce qui ne va pas et sur ce que nous pouvons (devons) changer.


Nous ne sommes pas là pour subir notre vie mais pour évoluer, grandir et être aligné à nos besoins profonds. La frustration peut et doit devenir un moteur pour nous dépasser et re-trouver notre chemin.


 
 
 

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